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AVOCETTES ÉLÉGANTES © JACQUES GILLON
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VIVE LA CULTURE
En France, nous avons pour coutume de dire que nous pouvons souhaiter la bonne année jusqu’à la fin du mois de janvier, alors, à nouveau : meilleurs vœux de la part de toute l’équipe du Festival de Ménigoute ! Que 2025 soit parsemée de joyeuses découvertes, étonnantes et inspirantes.
L'équipe mesure la chance d'avoir pu célébrer une 40e édition à Ménigoute. Cette gratitude va à nos précieux partenaires, à toutes nos équipes passionnées et à notre public fidèle à ce rendez-vous tout naturel depuis tant d'années. Nous mesurons d'autant plus cette importance lorsque notre région voisine des Pays-de-la-Loire subit de plein fouet de violentes baisses de budget dans le domaine de la culture, entraînant des dégâts sur de nombreuses structures et événements précaires.
La culture n'est pas une option dans le pays et nous le voyons à chaque Festival. Elle implique des moyens et des responsabilités, mais surtout un pouvoir inestimable de dynamiser et de mobiliser tout un territoire et une communauté engagée. L'économie d'un festival est fragile et chaque actrice et acteur a son importance pour consolider ses fondements.
À nouveau merci, à toutes celles et à tous ceux qui ont fait et qui continuent de faire le Festival de Ménigoute, de près ou de loin. Grâce à toute cette énergie et ce soutien, le 41e Festival de Ménigoute se prépare avec beaucoup de gratitude et s'annonce du 28 octobre au 2 novembre 2025 !

BROKEN WINGS © JORIK DOZY ET SIL VAN DER WOERD
APPEL À FILMS ET À STANDS
Petit à petit, l'oiseau fait son nid, et le 41e Festival de Ménigoute ouvre les candidatures pour sa compétition de films ainsi que de stands pour son forum de 3 000m2 !
CANDIDATEZ À L'APPEL À FILMS DU 3 FÉVRIER AU 20 JUIN 2025
Court ou long, la compétition de films a vocation à réunir une sélection éclectique et internationale du cinéma animalier. Avec une forte majorité de documentaires, la sélection s'ouvre à d'autres genres qui s'engagent sur des sujets de nature et ouvre régulièrement les portes au cinéma d'animation ou à la fiction. Un comité de sélection, venant du cinéma et du monde naturaliste, visionne l'intégralité des films reçus pour une sélection finale qui sera annoncée durant l'été.
CANDIDATEZ À L'APPEL À STANDS DE FÉVRIER À JUIN 2025
Un chapiteau de 3 000m2 dressé pour l'occasion abrite une multitude de stands autour de thématiques de nature. C'est un endroit en libre accès pour les festivalières et les festivaliers. Une sorte de ruche avec, à la place des abeilles, des exposantes et exposants qui s'affairent à parler de nature avec passion et convivialité ! Associations de protection de la nature, maisons d'éditions et librairies engagées, collectivités territoriales et de tourisme de nature, sociétés de matériels optiques et photographiques, artisanes et artisans de délices locaux… Un joyeux rassemblement pour échanger et informer autour de la nature et célébrer !
HORS LES MURS
Le Festival de Ménigoute est très heureux de se développer "hors les murs" ! Grâce au précieux soutien du Centre National du Cinéma et de l'Image animée (CNC), l'association Mainate qui porte le Festival s'associe à la société FIFO Distribution pour imaginer de nouveaux projets, dans d'autres lieux et à de nouveaux moments de l'année.
C'est le fondateur du Festival de Ménigoute, Dominique Brouard, qui porte ce nouveau volet en organisant des rencontres autour du cinéma animalier, de nature et d'environnement. Les projections seront faites au format numérique ou en bobine avec un projecteur selon les films.
La première séance a eu lieu le 21 janvier dernier à la salle Romane de Ménigoute avec le film La loutre, frisson de l'onde réalisé entre 1993 et 1995 par Philippe Garguil, Christian Bouchardy et René Rosoux. Le sujet est celui de la Loutre d'Europe dans les années 80 et aborde les mesures nécessaires à sa préservation en passant par le Portugal, l'Espagne, la Suisse, la Belgique, l'Écosse, mais aussi la France avec l'Auvergne et le Marais Poitevin. La projection, présentée par Marie-Christine et Dominique Brouard, productrice et producteur du film, s'est poursuivie par une rencontre avec Guillaume Charruaud, technicien médiateur de rivière au Syndicat Mixte de la Vallée du Thouet et membre fondateur du Réseau Loutre et Castor en Deux-Sèvres.
Retrouvez les prochaines dates de la saison du documentaire Hors les murs 2025 déjà programmées à 18H les mardis 11 février ; 11 mars ; 8 avril ; 13 mai ; 3 juin 2025.
À noter que pour l’été, 4 séances en plein air sont prévues !
Les programmations détaillées seront annoncées sur les sites du Festival de Ménigoute ainsi que sur celui de la commune de Ménigoute.

PREMIÈRE SÉANCE HORS LES MURS AVEC DOMINIQUE BROUARD © JEAN GOBIN
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Marie Daniel, directrice de l'IFFCAM
Débuter en famille, à Marseille, dans la chaleur des rencontres cinéphiles d'un cinéma de quartier. Graviter quelques années sur la planète Lussas et explorer le champ des possibles du documentaire d'auteur. Philosopher, chercher, expérimenter vers le cinéma animalier jusqu'à le créer. Alors, avancer tout droit à la case Ménigoute et son microcosme de personnes passionnées de nature. Marie Daniel est cinéphile, cinéaste, et depuis cinq années, directrice de l'unique école de cinéma animalier en Europe, l'Institut Francophone de Formation au Cinéma Animalier de Ménigoute (IFFCAM). Un parcours d'Est en Ouest qui rassemble la passion du cinéma d'auteur et celle du documentaire animalier au travers des sujets intimes et de sociétés.

MARIE DANIEL © FABIEN MAZZOCCO
« Je suis née à Marseille dans une famille très cinéphile avec un père qui gérait une salle de cinéma de quartier. J'ai toujours entendu parler de films et a fortiori de documentaires. Adolescente, j'ai suivi mon père dans des interventions, notamment dans des festivals comme Les États généraux du documentaire de Lussas. À l'époque, je n'avais pas l'idée d'en faire mon métier, mais ça a forgé ma curiosité, ma culture du documentaire et une certaine façon d'envisager le cinéma. Les premiers films qui m'ont marquée étaient de Sadie Benning et prenaient la forme de journaux intimes. J'avais quatorze ans et l'artiste en avait quinze dans ses films, alors il y a eu une sorte de projection. Je me suis rendue compte des possibilités de parler de la société et de l'intime dans le documentaire.
Au lycée j'ai suivi une option cinéma. Je me souviens très bien d'un travail à rendre où j'avais documenté une histoire qui m'était arrivée en réalisant un photomontage. Je me suis inspirée de films que j'avais vus et j'ai vraiment adoré l'exercice. Puis, j'ai fait des études de philosophie passionnantes, mais j'ai rapidement compris que je n'en ferais pas mon métier. La philosophie morale politique n'était pas un champ d'action qui me portait intellectuellement. Tandis que quand je me suis intéressée à la philosophie des sciences, là j'ai trouvé quelque chose de tangible sur lequel je pouvais apporter une réflexion. Comme j'avais cette culture cinématographique, les choses se sont liées naturellement. Je suis allée jusqu'à la maîtrise avec un mémoire sur la couleur comme objet relationnel entre les animaux et l'Homme. Au travers de cette recherche, je me suis beaucoup intéressée au monde naturel et il y a eu un énorme déclic.
Ce n'était pas un master professionnel donc il n'y avait pas d'obligation de faire de stage, mais je me souviens m'être dit que c'était une opportunité de pouvoir être conventionnée pour multiplier les expériences. J'ai été stagiaire pendant deux ans au Festival de Lussas, puis j'y ai été embauchée pour m'occuper de la médiathèque et de La Maison du doc. J'ai rencontré beaucoup de personnes sur place dont j'ai suivi le parcours et avec qui j'ai toujours des liens aujourd'hui. Je pense notamment à la réalisatrice Catherine Garanger qui fait du cinéma ethnologique et qui s'intéresse au monde animal. C'est elle qui m'a parlé du Festival International du Film Ornithologique de Ménigoute (FIFO) et de l'IFFCAM.

© IFFCAM
Le déclic du cinéma animalier
Cette rencontre m'a décidé à me réorienter vers le milieu du cinéma. La réalisation me faisait peur, je visais plutôt une spécialisation dans l'image. J'ai candidaté à l'INSAS et à l'IFFCAM dont je venais d'apprendre la création. Je n'ai pas été prise à Bruxelles, mais heureusement car je serais passée à côté de Ménigoute ! J'ai été étudiante de la première promotion de l'IFFCAM en 2004 et j'en suis sortie en 2006. J'ai continué à garder un lien avec Lussas où je travaillais. J'y ai fait la rencontre de Julia Pinget par exemple. Elle aussi travaillait à Lussas et, en parallèle, dans le festival de films scientifiques "À nous de voir" à Lyon. Ensuite elle a rejoint l'équipe de Tënk, une plateforme dédiée aux films documentaires, où elle s'occupe de la programmation autour de l'écologie. Aujourd'hui, elle fait d'ailleurs partie de l'équipe pédagogique de l'IFFCAM et intervient sur l'écriture en tant que réalisatrice avec une double culture autour de la science et du cinéma d'auteur. C'est ce qu'on appelle le réseau, une rencontre devenue une amitié et une personne sur qui je peux compter.
Entre 2006 et 2019, j'ai vécu une longue expérience professionnelle de réalisation de films sur la nature et l'environnement. J'ai beaucoup travaillé avec mon compagnon Fabien Mazzocco avec qui nous avons réalisé des films en marge de la télévision. Nous bénéficions de fonds financiers plutôt portés par des associations de protection de la nature, ce qui nous a permis d'avoir un champ de travail assez large. J'aidais Fabien sur un premier film de commande avec l'association Cistude Nature, Juste après la ville. Le sujet n'était pas très glamour, c'était sur un site de captage d'eau potable à Bordeaux. Pourtant, Fabien y a intégré des idées de François Terrasson qu'il découvrait à ce moment. C'était une belle surprise car ça convenait à tout le monde. C'est un peu ce que nous avons fait à chaque fois dans les commandes de films que nous avions : à la base il y a un sujet, mais ça nous amène à travailler une pensée étayée. Et puis, nous avons continué sur cette lancée avec entre autres Au rythme du bocage ; Ô papillons, ou l'histoire des hommes et des papillons ; L'Île Pyrénées ; Nous, mammifères ; Des serpents dans nos têtes ; L'Appel des libellules.

EXTRAIT DU FILM NOUS, MAMMIFÈRES © MARIE DANIEL ET FABIEN MAZZOCCO
Nouvelle direction pour l’IFFCAM
En 2019, j'ai arrêté la réalisation de films pour prendre le poste de direction à l'IFFCAM et me concentrer sur le suivi pédagogique et administratif de l'école. Travailler au contact de la jeune génération, c'est génial. Ce qui est touchant, c'est de voir l'évolution des attentes et de l'engagement des jeunes. Les questions autour du climat, de la biodiversité, mais aussi du statut des femmes, de la question du genre, bouleversent les personnes qui se construisent aujourd'hui. De manière générale, je les trouve vraiment matures et je les sens armé·e·s. Il y a une volonté de chercher comment raconter des films qui puissent aller encore plus loin.
Leurs projets professionnels sont très variés. Certaines personnes veulent avant tout être cheffe opératrice et chef opérateur animalier ou bien réalisatrice et réalisateur, avec une grande motivation pour intégrer des maisons de productions spécialisées dans le genre. D'autres trouvent dans le documentaire d'auteur une voie plus intéressante. Ce serait dommage de faire des choix rigides dans la formation alors qu'il y a différentes aspirations. Nous encourageons une culture au sens large, en formant aux techniques de prise de vue, mais aussi en montrant des films issus de l'histoire du documentaire d'auteur autant qu'animalier. C'est en ayant vu beaucoup d'œuvres, aussi variées soient-elles, qu'on mûrit notre imaginaire, même de manière inconsciente. Je pense qu'il faut motiver les élèves, en recherche de singularité, à être au plus fort de leur créativité pendant leurs études de façon à intégrer leur milieu professionnel avec un socle solide de références et une ouverture d'esprit.
Côté réseau, le Festival de Ménigoute est un moment très attendu pour les étudiantes et les étudiants avec l'organisation de temps dédiés à des rencontres professionnelles depuis plusieurs années. Les élèves nous témoignent de l'importance de ces rendez-vous car ce n'est pas toujours simple de se lancer dans un premier échange professionnel. Il y a des personnes qui, naturellement, arrivent à dépasser cette timidité première, et d'autres qui, justement, ont besoin de ce cadre pour pouvoir faire ces prises de contact. Aussi, une série d'ateliers de réalisation d'interviews de cinéastes sont organisés pendant et après le Festival pour permettre une approche professionnalisante. Des master class sont en train de se mettre en place sur l'année et, c'est encore au stade de l'étude, mais il y a l'idée de mettre en place un mentorat.

RENCONTRE PROFESSIONNELLE ENTRE LE RÉALISATEUR BASILE GERBAUD, LA MONTEUSE DELPHINE PIAU ET LES ÉLÈVES DE L’IFFCAM AU FESTIVAL DE MÉNIGOUTE 2024 © CM PHOTOGRAPHY
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L'EXPÉRIENCE AU FESTIVAL DE MÉNIGOUTE |
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Le Festival de Ménigoute représente tellement… Ça a bouleversé ma vie. La concrétisation de ma vie professionnelle, je la dois entièrement au FIFO. C'est à la fois beaucoup de reconnaissance envers cette histoire, envers les personnes qui ont fait le festival, évidemment comme Dominique et Marie-Christine Brouard. C'est aussi un lieu où j'ai rencontré des personnes auxquelles je n'avais jamais eu accès, une communauté fondue de nature. Je trouve absolument merveilleux cette multiplication de rencontres, d'échanges et de naissances de passions. La force du Festival c'est aussi le côté très festif qui permet d'accéder à une partie professionnelle, hyper pointue, mais en toute décontraction. Il y a les plus grandes et les plus grands cinéastes du documentaire animalier juste là. C'est un rendez-vous très fort, moi je le vis comme une famille que je retrouve à cette période et quand le FIFO se termine, c'est la dépression post-Ménigoute !
CATHERINE CHAILLOU, MARIE DANIEL ET ÉRIC BONNET AU FESTIVAL DE MÉNIGOUTE 2023 © CAMILLE GAUTHERON
L'ŒUVRE DÉCOUVERTE AU FESTIVAL DE MÉNIGOUTE
Losing Tomorrow de Patrick Rouxel. C'est un grand film coup de poing très bien réalisé et une des premières personnes qui alertait sur la condition des orangs-outans en Indonésie. Je l'ai vu quand j'étais étudiante à l'IFFCAM, c'était un moment très fort, toute la salle s'était levée et avait applaudi pendant dix minutes. Nous n'avions jamais vu d'images pareilles de la déforestation, c'était vraiment très militant.
LA RENCONTRE FAITE AU FESTIVAL DE MÉNIGOUTE
Les rencontres qui m'ont beaucoup marquée sont du côté du salon d’art avec les artistes céramistes Catherine Chaillou et Nicole Doray-Soulard. Fabien, Aude Moreau-Gobard et moi avons eu la chance que FIFO Distribution nous propose de faire un film sur une résidence d’art dont elles faisaient partie avec d’autres artistes. La société de production avait trouvé un peu d’argent et nous avait mis sur le coup pour nous donner une chance. Nous suivions et filmions le processus de création sur une semaine entière, c’était fabuleux !
DE HAUT EN BAS ET DE GAUCHE À DROITE : CATHERINE CHAILLOU EN ATELIER © CM PHOTOGRAPHY / PHOQUE GRIS © CATHERINE CHAILLOU / FOU DE BASSAN © NICOLE DORAY-SOULARD / NICOLE DORAY-SOULARD (À GAUCHE) EN ATELIER © CM PHOTOGRAPHY
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L'ACTUALITÉ
Cette fin d'année, il y a eu une très grande implication sur la rencontre de l'éco-production au 40e Festival de Ménigoute avec l'organisation de la conférence Représentation du vivant dans les récits. D'ailleurs, nous nous réunissons bientôt avec l'équipe, Jérôme Lombard, Audiens et Ecoprod, pour réfléchir aux futures thématiques et au prochain rendez-vous qui aura lieu pendant le 41e Festival de Ménigoute.
En ce moment, je suis en train de réaliser l'emploi du temps de la seconde partie d'année de l'école. J'organise des rencontres avec des réalisatrices, réalisateurs et sociétés de productions. L'objectif est que les étudiantes et les étudiants puissent discuter avec au moins deux productions différentes, une très animalière et une autre plutôt documentaire de société.
LES RENCONTRES DE L’ÉCO-PRODUCTION AU FESTIVAL DE MÉNIGOUTE 2024 © CM PHOTOGRAPHY
LA RECOMMANDATION
Ma recommandation c’est l'œuvre d’Alain Damasio. Nous organisons un Secret Santa à l’école, chaque personne offre une petite chose à une autre personne à la fin de l’année, et moi j’ai offert mon livre préféré Les furtifs. Son dernier livre La vallée du silicium est très intéressant aussi. C'est sur notre dépendance au numérique et comment l’auteur imagine des liens plus libres et heureux avec nos alter egos numériques... C’est flippant, mais je recommande ! » |
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ODE AUX ZONES HUMIDES
La corrélation entre l'eau et le bon développement de la vie n'est plus à prouver ! Dans le monde, 40% des espèces vivent ou se reproduisent dans des zones humides. Pourtant en France, depuis le début du XXe siècle, plus de 67% des zones humides ont disparu (Rapport Bernard, 1994).
En 2024, le Grand Prix a été décerné à la réalisatrice et naturaliste Léa Collober pour Odyssée Mare, et le film iranien poétique et engagé Grebe the lover d'Amir Agha Abdollahi a reçu le Prix du Parc Naturel Régional du Marais Poitevin. Des films retentissants qui mettent en lumière la richesse des zones humides. La cinéaste Léa Collober nous confiait dans la rencontre de la newsletter de mai dernier qu'il est urgent de stopper cette image "de trous d'eau en putréfaction avec de l'eau stagnante et des moustiques" et plutôt "montrer la vie de l'eau, des plantes qui oxygènent et de tout ce que cet environnement créé.
Célébrons ces lieux de biodiversité exceptionnels le 2 février 2025 lors de la Journée mondiale des zones humides avec tout un programme et déjà plus de 500 activités organisées partout en France autour de cette journée !

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ABONNEMENT ENGAGÉ
Bien commencer l'année avec L'Oiseau Mag, la revue phare de la LPO, et rencontrer des oiseaux emblématiques menacés de disparition en France pour apprendre à agir pour leur protection… Est-ce que ça ne sonnerait pas comme une bonne résolution ? L'abonnement n'est pas réservé aux ornithologues, mais aussi aux amoureuses et amoureux de nature, avec un numéro chaque trimestre de plus de 100 pages pour mieux connaître le vivant qui nous entoure et mieux le protéger. Actualités, reportages, dossiers thématiques, actions LPO, fiches d'identification, séjours nature, conseils pratiques… Découvrez des sujets passionnants avec une grande diversité de rubriques !

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Focus sur l’une des réalisations de Marie Daniel et Fabien Mazzocco avec le DVD du film Nous, mammifères. Une occasion de découvrir un documentaire qui questionne notre place dans le vivant. Disponible à la boutique de FIFO Distribution !
« Parmi l'ensemble du règne animal, les mammifères sont les animaux les plus proches de nous. Du sauvage au domestique, du rapport de fascination à la lutte, les liens qui nous unissent encore aujourd'hui sont multiples. En mêlant une réflexion historique, philosophique à un regard naturaliste, le film questionne notre manière de vivre avec et de considérer les animaux. À travers ce bestiaire, c'est avant tout un portrait de notre espèce et de son rapport à la nature qui apparaît dans Nous mammifères... À une époque où l'on se doit de repenser notre place vis-à-vis du vivant qui nous entoure. »
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