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Répondons présent ! En mars dernier, nous avions relayé l'Appel des solidarités qu'avaient lancé 145 associations sous la houlette de la Fondation Nicolas Hulot pour interpeller les politiques avant les élections présidentielles. Emmanuel Macron fut le premier à y répondre favorablement parmi les candidats. Entre temps, Nicolas Hulot est devenu un homme politique, la fondation a changé de nom, mais l'idée a fait son chemin : près de 200 000 personnes ont répondu présent à cet appel, le collectif rassemble 180 associations et un ouvrage intitulé « Répondons présent ! », préfacé par Edgar Morin, vient d'être publié* (128 pages, éd. de l’Atelier, 5 €). 5 caps pour plus de solidarités Réparties entre les 5 caps fixés – dont un sur la biodiversité ,120 propositions ont été choisies parmi plus de 500 exprimées, issues de la réalité du terrain. Pour que ces propositions voient le jour, l’Appel des solidarités compte faire sa rentrée parlementaire en entamant un cycle de rencontres auprès des parlementaires. Les associations entendent rester vigilantes sur l’engagement du Président de la République et de son gouvernement. Singer un photographe S'il fallait citer un exemple en matière d'évolution de la solidarité, en voici un tout trouvé : nous avions relaté dans cette newsletter la saga du selfie réalisé par Naruto, un macaque indonésien qui avait subtilisé l'appareil d'un photographe. Selfie abondamment "viralisé" sur la Toile par la suite au point que l'ONG de défense des animaux PETA poursuive le photographe en justice pour que l’animal soit reconnu comme l’auteur de la photo ! Déboutée, l'association avait fait appel et a obtenu un compromis : le photographe devra reverser 25 % « de tous les revenus provenant de l’utilisation ou de la vente des selfies du singe à des oeuvres de charité qui protègent l’habitat de Naruto et d’autres macaques indonésiens », en voie d’extinction. À ceci près que la photo circule vraisemblablement sans rien lui rapporter, mais ça c'est une autre histoire ! Catherine Levesque. * Disponible également en version numérique |
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Toutes les couleurs du noir Évocation funeste de la mort pour certains, les corneilles et corbeaux ont mauvaise réputation. Matthias Abrantes, le réalisateur de ce film sur les corvidés, a pris le parti de laisser la parole à ceux qui, en vivant en leur compagnie, ont appris à mieux les connaitre.
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Olivier Larrey : froid aux yeux ! Passionné par les régions froides, Olivier Larrey, 39 ans, présentera pour la première fois au Festival de Ménigoute une de ses expositions sur la Taïga. Retour sur son parcours. • Vous travaillez aux côtés de votre frère, Frédéric Larrey, présent au FIFO il y a deux ans. D'où vous vient cette fibre familiale ? • Comment s'est déroulé votre parcours ? • L'exposition Taïga est d'ailleurs issue d'un travail collectif ? • Êtes-vous déjà venu au Festival ? Propos recueillis par Catherine Levesque. |
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Un nouveau site Web pour le Festival de Ménigoute La nouvelle vitrine Web du FIFO devrait être opérationnelle fin septembre. Wendy Gérard et Nicolas Brunet, ses concepteurs, nous dévoilent cette refonte. "Simple, coloré et mieux organisé". Tel est le triptyque autour duquel le nouveau site Web du Festival de Ménigoute s'est construit. Wendy Gérard, cheville ouvrière du projet depuis janvier dernier, s'est attelée à la tâche dans le cadre de sa licence professionnelle, effectuée en alternance au CNAM de Poitiers. "J'ai analysé le site, ses points forts, ses points faibles, réalisé un benchmark des sites similaires et élaboré un cahier des charges", raconte l'étudiante de 21 ans, qui a mené cette mission avec Nicolas Brunet, webmaster chez Tabula Rasa à Parthenay. "Nous avons réorganisé les onglets pour plus de simplicité, conçu des outils et misé sur un design plus attractif et ludique, avec plus de visuels et des vidéos en prime." Le design a ainsi été entièrement repensé dans la mouvance minimaliste actuelle : une évolution dans la lignée de la refonte de l'identité du Festival amorcée en 2014, lors du 30ème Festival. "Le minimalisme est un travail plus complexe qu'il n'y paraît, poursuit Nicolas Brunet. Chaque élément est pesé, tout ce qui est superflu ou avec un moindre intérêt disparaît, et le reste doit être pleinement mis en valeur graphiquement. C'est là qu'interviennent les visuels du Festival, matière première d'exception, sur lesquels repose principalement le design du site." De nouveaux outils et des archives Autre défi, conserver un historique des trente dernières années. "Ces contenus ont été remaniés dans une nouvelle arborescence et intégrés à une navigation qui redirige le visiteur vers le contenu important sans encombres", se félicite Nicolas Brunet. Enfin le site est optimisé pour tous les périphériques : la navigation en sera plus aisée sur les smartphones et les tablettes tout en permettant à Google de mieux indexer les contenus. Catherine Levesque.
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Des personnalités et un millier de citoyens ont dit « Stop aux tirs des loups » en posant dans une campagne sans précédent, relayée avec le hashtag #SOSloups sur les réseaux sociaux. Une quarantaine de personnalités brandissent aussi la pancarte et sont signataires du manifeste de CAP Loup, parmi lesquelles Yann Arthus-Bertrand , Hubert Reeves, Jacques Perrin, Guillaume Meurice, Brigitte Bardot, Aymeric Caron, Jeanne Mas, Yolaine de la Bigne, Fabrice Nicolino, Vincent Munier (invité d'honneur du prochain Festival de Ménigoute), etc. Une mosaïque a été composée avec l'ensemble des photos transmises, visible sur le site du collectif Cap Loup. Le FIFO aussi y participé ! > Voir aussi la vidéo réalisée par Marc Giraud et les étudiants de l'Iffcam sur la page Facebook de Cap Loup.
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Plus de 43 000 personnes ont répondu à l'enquête de la Fondation pour la Nature et l'Homme : Vous et l'écologie. En huit questions, elle balaye des problématiques liées à la transition écologique : alimentation, agriculture, économies d'énergie, transports, pollution… Pour y participer : http://enquete.fnh.org/
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L'automne est là, saison des champignons, qui seront à l'honneur les 14 et 15 octobre à La Couarde (Deux-Sèvres). Au programme de cette fête, une conférence sur les "Myxomycètes, des "champignons" qui marchent ?", le samedi, à 17 h, au Centre Jean-Rivierre. Martine Régé-Gianas, de la Fédération mycologique et botanique Dauphiné-Savoie, représentera Marianne Meyer, spécialiste européenne de ces protozoaires qui se déplacent pour se nourrir (entrée libre / 05 49 32 85 25). Le dimanche : cueillette guidée à 8h30 en Forêt de l'Hermitain. Et de 10 h à 18 h, à la Maison Peleboise, une exposition mycologique, une exposition sur la truffe, une démonstration de cavage, des stands naturalistes, un marché de produits locaux, un déjeuner champêtre (sur réservation au 06 72 20 10 04). Sans oublier à 15 h le spectacle de jonglerie "Welcome !". Cet événement est inclus dans le programme national Fête de la science.
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Crédits photo : Patrice Mariolan, FIFO FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM ORNITHOLOGIQUE DE MÉNIGOUTE
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